L'anneau maçonnique
Ces hommes qui aident mon père chaque jour,
Ils portent ces bagues Mason.
Une équerre et un compas en or,
La louange dont je chante.
Mon père, il s'est fait mal au dos, vous savez,
Une journée froide et hivernale.
Il a glissé et est tombé sur la glace,
L'assurance ne paierait pas.
Et depuis ce temps, ces bagues que je vois,
Des mains qui nous aident beaucoup.
En tondant les pelouses et en transportant les déchets,
Chaque jour, ils touchent mon cœur.
Ils m'ont même construit une maison,
Au milieu de notre arbre de jardin.
Où tous les enfants des voisins,
Je jouerais avec des rires pleins de joie.
Ma mère, elle a pleuré de bonheur,
Le moment où les francs-maçons sont arrivés.
Pour aider notre famille en détresse,
Sans souci de gain.
Et quand je serai grand, comme mon père,
Il faut en parler.
Je veux porter une bague comme la sienne,
Une équerre et un compas en or.
De longues années se sont écoulées depuis quand
Mon père portait ce plâtre.
Et depuis que j'ai prêté ce serment solennel,
Ce qui nous unit jusqu'au bout.
Mais plus que cela, je suis fier de dire,
Je porte sa bague Mason.
Celui que papa a porté pendant de nombreuses années,
Jusqu'à sa mort ce printemps.
Et une dernière fois ses camarades sont venus,
Pour aider ma mère en pleurs.
Ils ont fait l'éloge et ont dit au revoir,
À notre frère déchu.
Et après quoi MON fils a demandé,
À propos de leurs tabliers blancs.
Et des bagues sur leurs mains.
D'or si brillant.
Avec les larmes aux yeux, j'ai dit avec fierté,
Ce sont des hommes d'esprit pur.
Ces hommes qui portent ces bagues Mason,
De cela, vous pouvez être sûr.
Et avant d'aller se coucher ce soir-là,
La famille qu'il a prédite.
Un jour, je porterai une bague comme celle de papa,
Une équerre et un compas en or.
Auteur inconnu